La tendance s’accentue chaque année un peu plus : propriétaires et gestionnaires de centres équestres ont du mal à recruter. Jusque dans les écuries sportives, le recrutement d’un palefrenier ou d’un cavalier d’entraînement sont devenus tout aussi difficiles.

Parmi les clients d’ÉCOVEGETAL, une réponse émerge, qui a aussitôt inversé la tendance et soulagé la tension du recrutement. La solution est liée au mode de fonctionnement même de l’écurie.  

Que se passe-t-il avec l’emploi en centre équestre ?

Depuis plusieurs années déjà, l’offre d’emploi dépasse le nombre de candidats en recherche. Pire, en 2019, selon les dernières études de l’IFCE, 14% des offres ont dû être abandonnées, devant l’absence de postulants. C’est le cas dans les écuries de course, comme le souligne cet article d’Ouest France, mais aussi dans la grande majorité des centres équestres sur le territoire national.

Même la diminution des offres de travail liées à l’arrivée du Covid n’a pas rééquilibré les choses. Le Rapport 2020 de l’IFCE sur le Marché du Travail dans la filière équine pointe qu’il manque toujours énormément de main d’œuvre sur ces métiers dits « de terrain » :

  • l'enseignant d'équitation
  • le lad driver/jockey et le cavalier d'entraînement (galop)
  • le cavalier de débourrage pré-entraînement, l'assistant d'élevage et le responsable d'élevage
  • le palefrenier

Compétences, motivations, formation ? Pourquoi tant de difficultés à recruter ?

Plusieurs raisons pourraient expliquer cette pénurie de main d’œuvre. Le décalage entre les attentes professionnelles des entreprises et les qualifications, d’une part.

Mais aussi, d’autre part, le décalage entre l’offre et les attentes des candidats. Les conditions de travail sont réputées – et avérées – souvent difficiles, notamment dans la fonction palefrenière. Journées longues et physiques, travail le week-end et horaires irréguliers, entre autres. L'argument du métier "passion" ne suffit plus à leur motivation. 

Avec l'évolution des métiers, les salariés ont tendance à orienter leurs priorités de recherches sur de nouveaux critères. Un environnement de travail optimal, un management doux, de meilleures conditions salariales.

De leur côté, les employeurs réclament des compétences étendues et une certaine flexibilité dans la pratique au jour le jour. 

L’analyse de Fanny Pierard, responsable Écuries Actives chez ÉCOVEGETAL : « L’aspect « positif » de cette situation, c’est qu’elle a fait prendre conscience à toute la filière que ce sont des métiers de passion. Et que la passion peut et doit être rémunérée au juste prix. »

La solution pour recruter facilement : l’écurie active

De plus en plus de responsables de centre équestre ont déjà opéré la bascule. La solution qui les soulage tout en leur assurant de retrouver rapidement une pile de candidatures sur leur bureau, c’est le passage en écurie active. 

L’automatisation des tâches répétitives et physiques permet d’abord d’économiser jusqu’à 70% du temps de travail. Finis les nettoyages de boxes quotidiens, où l’on charge le foin à la fourche et à la main, le balayage et les travaux d’entretien répétitifs et épuisants.

Avec un système de sols de dortoirs en tapis PVC, matelas ou EQUIMAT par exemple (consulter ici la gamme bien-être), la quantité de paille à renouveler est minimale par rapport aux anciens boxes individuels, et elle dure plus longtemps (jusqu’à 70% d’économie de litière). Les râteliers à fourrage peuvent être alimentés à l’aide d’un tracteur, la gestion de l’alimentation et des automates se fait depuis un poste informatique... La liste est longue. 

Résultat, vous pouvez offrir à vos salariés des tâches plus gratifiantes au contact de chevaux beaucoup plus détendus – et dans un environnement forcément plus sécurisé. 

La transition est peut-être plus facile à faire que vous ne l’imaginez. Contactez nos experts pour préparer votre passage personnalisé à l’écurie active.